8 août. Ca ronfle au décollage de Planfait (pas les parapentistes, non, le vent. Il rentre fort et de plus c’est de travers, tout ce que j’aime avec mon aile). Après de nombreuses tentatives, je décolle enfin… pour un plouf car les ailes sont scotchées devant le déco. Aucun intérêt ! Je me pose et appelle la maison, on va essayer d’aller faire un biplace au Semnoz. Mais là, c’est pareil, plus de 40 km/h de vent. Les ailes qui décollent se font littéralement arracher du sol. Trop risqué avec Camille qui est très déçue de ne pouvoir voler. Ce n’est que partie remise, ma louloute, il faut savoir patienter (pour mieux apprécier). Ca ira mieux demain, ou après demain, ou... plus tard !